vendredi 5 décembre 2008

Une affaire outreau bis ?


HBL http://larrive.blogspot.com


présente:

L'AFFAIRE CLOVERS




Images de blogs, pour la musique !

Affaire Clôvers
Quand la justice dérape






 Et fait corps avec une foule déchaînée







Hélène Larrivé, auteur devenue éditrice (HBL) et vidéaste 
 
Les éditions HBL (rubrique Justice, dite "Face au mur") se sont données pour tache de défendre la mémoire des victimes pour lesquelles seul le recours aux médias et à la conscience collective peut encore infléchir la machine judiciaire emballée contre elles... des victimes d'erreurs judiciaires comme dans le cas qui va suivre, mais aussi parfois simplement de "bouc émissaires"... traités avec un acharnement extrême... en fonction par exemple d'une actualité particulière ou de mouvements politiques pugnaces et revendiquants.
Voir site "larrive.info/" ou larrive.blogspot.com (sommaire de neuf blogs HBL) ou encore la galerie "Archétype" à Anduze, dont sont tirées certaines photos d'oeuvres (Danielle Lange, Cris German...)

Nous ne sommes pas égaux devant la justice


... aux journalistes, artistes et auteurs de participer à rétablir le juste lorsque la justice s'est laissée aller, lorsqu'elle a carrément dérapé : Outreau, bien sûr (mais cela a déjà été abondamment traité) mais aussi tant d'autres inconnus qu'il faut faire connaître... La société cache ceux qu'elle ne veut pas voir, ceux à qui elle redoute d'avoir à rendre des comptes : à nous de les mettre sur le devant de la scène. Et ces comptes, de les exiger. Pour eux, pour nous, pour la justice elle même.
Voici une première affaire, suivie par M° Blindauer, avocat au barreau de Metz, qui sera l'objet d'un livre ou d'un DVD. Il y en aura d'autres... Commençons par le plus urgent: une question de vie et de mort, en l'occurrence, qui commence comme une galéjade.


Face au mur







de la justice !


Drame au camping "les flots bleus"

 
Une affaire Outreau bis ?

Il s’agit en quelque sorte d’une affaire "Dupond-Lajoie"… mais à l’envers. Tout aussi sinistre et terrible : un scénar de film noir, improbable et cependant vrai.
Voici les faits : Mr C est allemand, de milieu modeste. Il ne parle pas français. C'est un homme démuni et fragilisé à plusieurs titres : malade cardiaque, sourd… et de surcroît, dont les deux enfants sont handicapés, avec retard psychomoteur, plus important pour le petit garçon, 11 ans à l’époque, que pour la petite fille, 8 ans… Par exemple, ils doivent porter des couches, nous verrons que cela a son importance, et ont encore la tétine dans la bouche. Notons aussi que la famille est suivie par des psy et assistants sociaux en Allemagne [qui ne trouvent rien à redire au comportement des parents, bien au contraire]… le petit garçon ayant pu être victime d’un viol dans l’institution qui le suit.
Et ce n'est pas fini…









Le soleil et la mer

1996. Voilà Mr C en vacances avec sa famille dans un camping populaire à Sète. Le midi, le soleil, la mer… Cependant, ce n’est pas l’ami Ricoré qui va venir s’inviter à leur table... mais la fée Carabosse. Une tragédie se noue, qui commence par de l’anodin... jusqu’à ce que la justice s’en mêle. "Maxima lex, maxima injuriae" disaient les romains. (Plus il a de loi, plus il y a d’injustice.) On va le voir.

Promiscuité et querelles :
une histoire de chien
et UN témoin , UN





L'origine du délit ? Peut-être bien. 
Tout commence par du banal ...






Toi, tu vas voir qui c'est Minos ! 
Mais les hommes sont plus sophistiqués

Chien et chats... Cela pourrait être drôle, ça ne l'est pas: un différend au sujet de leur chien avec une voisine de tente, une certaine dame V déjà en bisbille avec d’autres campeurs, et c'est le commencement de la fin. Mr C, sûr de son droit, en bon germanique qu’il est, ne cède pas. La dame V, dépitée, quitte son emplacement. Premier round. Un à zéro.
Une certaine incompréhension culturelle ? La barrière des langues ? La promiscuité ? Le hasard... Et c’est l’enchaînement impensable ensuite que l’on ne peut ici appeler nécessité. Car cela ressemble bien à une sinistre vengeance. 


En effet, deux jours après la "résolution" du différend-chien, la dame V assure avoir été témoin de faits de pédophilie et d’inceste de la part de Mr C à l’encontre de Sabrina (8 ans)… et d’abus sexuels sur les deux enfants durant tout le séjour.
Notons qu’il s’est écoulé un délai de 24 heures entre les "faits" observés et leur dénonciation, et plus encore pour ce qui concerne les abus qui eurent lieu "durant tout le séjour" ce qui rend le témoignage hautement suspect, d'autant plus qu’il suit de près le différend-chien. Un règlement de compte ? Cela y ressemble fort.

Notons que la dame V, même si elle fut ensuite suivie par d’autres campeurs faisant bloc autour d’elle, fut le seul témoin de ces "faits". Son mari lui même, précise bien dans sa déposition que lui n’a rien vu (mais il la soutient sur le mode du "si elle le dit, c'est que c'est vrai".)


Résumons : UN seul témoin... et quel témoin… Cela ne vous rappelle rien ? Et la machine s’emballe comme à "La tour du renard".
En 1996, nous sommes juste après l’arrestation de Dutroux et les gens sont ultra sensibilisés, à juste titre, à ces affaires : Outreau est en préparation. Le cas C, aussi.

Le début du dérapage




Un pédophile au camping? Sonnez trompettes, c'est l'hallali : immédiatement et violemment arrêté sans qu’il ne réalise ce qui se passe, maltraité, humilié, Mr C est interrogé sans relâche et sans pouvoir se défendre ni même comprendre ce qui lui arrive... avec ce que l’on pourrait presque appeler un acharnement sadique : par exemple, on lui refuse ses appareils auditifs. POURQUOI ? (Et de toutes manières il ne parle pas français.) De surcroît, il relève d’une grave maladie cardiaque ; son épouse, accusée de complicité, ne réalise pas davantage ce qui se passe et ses enfants, encore moins.


Vite vite... L’interprète, comme c’est parfois (souvent ?) le cas était-elle* une quidam de bonne volonté "parlant un peu allemand" recrutée à la volée sur la plage… et assermentée à la va-vite par la police devant l’urgence ? Quelqu’un a-t-il vérifié ses traductions ? Déjà, il arrive que les rapports de gendarmerie modifient les propos tenus (il ne s’agit pas nécessairement de mauvaise foi mais parfois de simple maladresse)… mais lorsque s’y ajoute la barrière linguistique et culturelle… !!! Or c’est la vie et l’honneur d’un homme qui ici sont en jeu.







La parole des enfants


Et les enfants ? A fortiori, eux non plus n’ont évidemment pas davantage compris ce qui se passait, la petite fille devenue à présent une jeune fille de 20 ans l'assure maintenant avec force: on lui a confisqué sa parole,et on l'a utilisée pour démolir ses parents. Quant à son frère, son niveau intellectuel rend les propos qu’on lui prête totalement invraisemblables, ne serait-ce que sur la forme. Là, se surajoute encore le handicap qui fragilise : ces enfants, plus que tout autres, sans vraiment mentir, sont susceptibles d’acquiescer à ce qu’on leur suggère sans en mesurer la portée, pour avoir la paix, pour faire plaisir, voire par peur. De plus, un véritable acharnement judiciaire de la part du juge d’instruction occultera totalement les éléments à décharge. Tout cela ressemble plus à un hallali avec mise à mort sous le coup de l’excitation collective qu’à un interrogatoire d’enquête à la recherche de la vérité. "Scène de chasse" au camping "les Flots bleus".
Reste que l’examen de la fillette montra de petites lésions dans les parties sexuelles (irritation vaginale, mycose sans doute reliée aux couches et à la chaleur) et pour le petit garçon, un sphincter relâché "compatible avec une pénétration anale". Or, rappelons son encoprésie primaire et le retard psychomoteur qui s’y associe : on le sait, ou du moins les médecins devaient-ils le savoir, l'infirmité psychomotrice s’accompagne presque toujours de relâchement musculaire sur tout ou une partie du corps, d'où la difficulté chez ces patients, surtout jeunes, à contrôler leurs sphincters ... et on ne saurait les examiner comme on le fait des autres. Ou s'agit-il d'une trace (Une séquelle ? ancienne ? Cela hélas n’est pas précisé) … de l’abus sexuel qu'il aurait subit dans son école et pour lequel la famille était suivie en psychothérapie en Allemagne ? Aucune recherche ne fut effectuée en ce sens là, l’enquête ne tint pas compte des éléments à décharge ou au minimum problématiques... et le sort en fut jeté.




Mr C fut rondement condamné à 12 ans de prison...
Malade, ne pouvant se défendre, harcelé par une déferlante incontrôlable, trop démuni pour s’offrir les services d’un avocat bilingue (notons ici que M° Blindauer, germanophone, le défend à présent gratuitement et se doit de plus d’accomplir des trajets en Allemagne à ses frais), peut-être mal défendu, son sort fut scellé. La justice est bien aveugle. En tout cas, elle n'est pas égale pour tous.




Fin de l'acte. Il en effectua 7 et 11 mois, sans cesser de proclamer son innocence et sans jamais être entendu. En détention, il fut évidemment agressé sexuellement par des co détenus. Normal: un pédophile !

De l'autre côté du Rhin...
Jugements contradictoires


Sa femme, qui ne parle pas plus français que lui, fut condamnée à 1 an et demi. Notons aussi que le procès en Allemagne l’innocenta totalement (quatre jugements ont refusé toute poursuite), que les juges allemands leur conservèrent naturellement la garde de leurs enfants … en somme, des gens qui, eux, les connaissaient fort bien, les assistants sociaux, les psy etc… témoignèrent tous et sans la moindre ambiguïté en leur faveur, contestant formellement (attestations à l’appui) la possibilité d’abus sexuels de leur part. Qu’importe, les magistrats français, droits dans leur bottes, ne tinrent aucun compte de l'avis de leurs collègues germaniques pourtant forcément mieux informés et plus fiables. Le climat "Dutroux"? Evidemment. Un soupçon de xénophobie ? Sans doute. Et de "pauvrophobie" ? Certainement. Et d’handicapophobie surtout : ces gens bizarres qui ne parlaient pas français, malentendant pour l’un, parents d’enfants étranges tous deux, ces gens qui, pour communiquer, devaient s’approcher de très près et dont les jeunes devaient être changés quatre fois par jour… devaient forcément avoir quelque chose de grave à se reprocher. On ne subit pas tant d'aléas successifs sans être quelque part maudit des dieux.
Notons aussi que nous sommes en été, la chaleur est accablante, les vacanciers, dans leur tente ou leur caravane, voire dehors, sont très légèrement vêtus, et que l'intimité de chaque famille est forcément dévoilée.




Démembrement d'une famille


Leurs enfants leur furent donc enlevés, confiés durant 4 ans et demi à une famille d’accueil française de milieu socio économique plus favorisé… au sein de laquelle ils se plurent ; la petite fille apprit le français. Leur mère, libérée après quelques mois, ne put malgré ses efforts les reprendre avec elle en Allemagne… et les faire poursuivre leurs soins au centre spécialisé où on les connaissait bien. Cela lui fut refusé, malgré les avis favorables des juges allemands et des professionnels de santé. Ni les parents d’accueil, ni même (mais en est-on sûr ?) les enfants ne furent réceptifs à ses demandes désespérées. Pour ce qui concerne les parents de substitution, on conçoit leur réserve, (ils croyaient en toute bonne foi les C coupables, s’étaient attachés aux enfants et ne faisaient que suivre le jugement rendu en France), mais pour ce qui est des adolescents, une telle attitude est surprenante en effet. C’est compter sans leur fragilité, leur handicap (et la pauvreté de leur famille) : celui qui a le choix entre confort, absence de soucis matériels, et une affection indéfectible, car il ne s’agit pas ici de nier les qualités de la famille d’accueil, d’un côté… et de l'autre, tracas, opprobre sociale, exclusion, famille monoparentale et grande pauvreté, même si l’amour demeure à l’identique, penchera nécessairement sans même s’en rendre compte vers le milieu qui le rassure : on est mieux au chaud que dans le froid, salué que honni, avec deux parents qu’avec un seul. D’autre part, le jugement français interdisait à la mère de voir ses enfants: le cercle est bouclé, la dislocation de la famille, consommée.







Un homme brisé par la justice
 
Le résultat de ce drame est là : Mr C a purgé sa peine et est sorti de prison dans l’état que l’on imagine. Il est rentré dans son pays mais il a tout perdu, sa famille...
Interdit de contact avec les siens, au bout de tout ce temps, ce temps perdu qui, comme dit le poète, "ne se rattrape pas", la rupture est inéluctable : on ne se reconnaît plus. Le fait est: bien que son épouse le soutienne totalement dans sa demande de réhabilitation, ils ont divorcé.… Il a donc tout perdu en effet : sa famille, son travail, son argent (il a été escroqué de 80 000 Euros durant sa détention)… et surtout, son honneur… et ce qui lui restait de santé. Soulignons encore que, en prison les détenus ne sont pas tendres pour les pédophiles ou ceux qui sont considérés comme tels.

Fait nouveau, et quel fait !


Mais le fait nouveau est de taille : c’est sa fille, adulte à présent, et peut-être plus fiable maintenant qu’elle a suivi une thérapie, mûri, effectué des progrès... et parle français… c’est sa fille qui le soutient dans sa requête… et confirme et clame que ni elle ni son frère n’ont jamais subi quoique ce soit de la part de son père. Alors ? ca devrait être réglé? Non.


Tout ce qu’elle lui reproche paradoxalement est… de l’avoir "abandonnée", après son retour en Allemagne, ce qui n’est pas le cas ; elle voudrait que celui-ci se comportât à présent en père véritable, comme si rien ne s’était passé, ce qui est impossible : traumatisé par les procès, la honte, la détention et les actes de barbarie réservés aux "pédophiles" en prison (où il a subi évidemment des agressions sexuelles), la solitude, la maladie… la barrière culturelle entre eux, l’interdiction de séjour sur le territoire français, la pauvreté qui confine à la misère… il est brisé. 

Le lien s’est à demi rompu entre eux et le contact passe parfois mal… C’est bien le pire de cette affaire.



A ce jour, le seul emploi qu’il ait pu trouver en Allemagne est celui… d’employé des pompes funèbres (!). Dépressif et suicidaire (on le serait à moins !) il veut seulement qu’on lui rende son honneur. Tous les ingrédients de la révision du procès y sont : sa fille nie avoir été victime de quoique ce soit, les juges allemands confirment… Mais rien n’est joué. Il comte sur nous, sur tous : par le biais de M° Blindauer, il demande une révision de sa condamnation pénale, sa seule issue. Avec bien peu de chance de l’obtenir (le fait nouveau, mais sera-t-il reconnu ? étant bien sûr la dénégation par la "victime" de tout crime)… mais il nourrit malgré tout beaucoup d’espoir. Une question de vie et de mort pour lui, sans jeu de mots.


Marie-Christine Blindauer travaille depuis des mois sur cette affaire qui la hante, dont elle écrit actuellement les détails, et elle compte sur … tous pour faire rendre justice à son client, à bout sur tous les plans. Il y a de quoi écrire en effet : une famille détruite, disloquée par la machine judiciaire devenue autiste et monstrueuse, dont les membres furent jetés les uns contre les autres en un ballet tragique sans doute irrémédiable, digne de "L’œuf du serpent"**, mérite qu'on s'en préoccupe.


Sabine, aujourd’hui âgée de 20 ans, a vu sa parole annihilée, niée, et transformée au gré des passions médiatiques pour anéantir et déshonorer ceux qu’un enfant aime avant tous, ses parents, puis les lui arracher et broyer tout son univers avec le leur : un saccage que rien ne viendra soulager si ce n’est l’ultime reconnaissance de l’erreur. C’est, avec le témoignage de la jeune fille, le procès de la justice qu’il faut faire car, de la garde à vue à l’instruction, c’est toute l’enquête qui a déraillé. Une affaire qui met mal à l’aise tant elle est "extrême".
Mr C n’a jamais revu son fils, Frédéric.
Merci pour eux.
Marie Christine Blindauer, Hélène Larrivé




  • Dans "Le Procès", basé sur des faits réels, (Viridiana, éditions HBL) l’ "interprète" diligenté en urgence par les gendarmes pour l’interrogatoire s'avère… ô stupeur ! être un entrepreneur de maçonnerie quasi analphabète, de surcroît impliqué dans l’affaire !!! … cousin et également patron du "mis en cause"… en même temps que copain de chasse de certains pandores … l’interprète officiel (de Nîmes) étant indisponible. Les services de cet homme -ou d’un autre qui ne valait pas mieux- étaient quasi officiels et réguliers ! Un gag ? Un sketch pagnolesque ? Non. La réalité d’une petite ville du sud comme tant d’autres.

  • Le film relate l’expérience d’un médecin nazi sadique qui enferme un couple dans un appartement, sans contacts avec l’extérieur, les observe après les avoir soumis sans relâche à des stress impitoyables… jusqu’à ce qu’ils finissent par s’entre tuer: il mesure le temps nécessaire…



R
ésumé des faits


Un seul témoin donc, UN, et une interrogation obsédante : les "faits d’abus" sur Frédéric "pendant tout le séjour" (?) pointés par la dame V au camping remontent à quand exactement ? Combien de temps a duré le voisinage d'emplacement des V et des C ? et quel est le délai écoulé entre ces premiers "faits" et leur dénonciation ? Forcément plus que 24 heures puisqu’ils sont antérieurs aux actes "observés" contre Sabine… Pourquoi a-t-elle tant attendu ? S’est elle rendu compte… a posteriori? Cela arrive certes, mais là ça tombe … disons "bien".


Est-elle de bonne foi ? Peut-être. Rappelons encore que nous sommes en été, la chaleur est accablante et les gens, légèrement vêtus, surtout dans leur tente ou leur caravane... et enfin que les allemands sont culturellement plus "nature" relativement à la nudité que les français. D'autre part, la surdité de Mr C l'oblige, pour entendre ses interlocuteurs à s'approcher de très près d'eux. C'est tout !
C'est tout : et c'est peut-être sur des détails culturels quasi futiles que se sont joués la vie et l'honneur d'un homme, et d'une famille entière.










Les éditions HBL (rubrique "Face au mur") se sont données pour objet de défendre les victimes pour lesquelles seul le recours aux médias et à la conscience collective peuvent encore infléchir la machine qui s'est emballée contre elles. Nous ne sommes pas égaux devant la justice. Que Roland Agret et sa femme, Karine Duchochois.... et tous ceux qui, l'ayant subi, se sont relevés et ont eu le courage de consacrer à présent leur énergie à aider les autres soient remerciés.



Si....

Si vous avez lu jusqu'au bout cette longue et effroyable affaire, détendez vous maintenant avec le blog http://erjud2.blogspot.com qui la reprend en images pour former une brochure genre bande dessinée qui sera éditée.
et avev une visite au blog "fleur bleue" ( animaux et artistes) rigolade assurée sur
.. pour vous repérer, le blog sommaire de tous les blogs HBL sur http://larrive.blogspot.com vous renverra par les liens à des sujets aussi divers que le Darfour, l'infiltration des groupes terroristes (suspense assuré, c'est le blog-polar), l'affaire Villemin, (le blog-people), les femmes en Iran etc...
La culture devrait être gratuite : le blog http://motsdefemmes.blogspot.com reprend certains livres d'HBL in extenso. Ils peuvent aussi être achetés sur le site de la maison d'édition http://larrive.info/

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